Pourquoi j’ai choisi d’accompagner les associations ?

Une conviction forte : aider ceux qui aident

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu aider. C’est une conviction qui m’anime depuis l’enfance, un fil conducteur qui m’a guidé dans mes choix. J’ai toujours eu à cœur de soutenir ceux qui œuvrent pour les autres, et c’est cette envie qui a façonné mon parcours, jusqu’à la création d’Aido Gestion.

Aujourd’hui, je mets mes compétences en gestion, comptabilité et digitalisation au service des associations. Mais avant d’en arriver là, mon chemin a été jalonné de découvertes, de questionnements et d’un déclic qui a tout changé.

Ma rencontre avec l’automatisation : une révélation

Tout a commencé au lycée, quand on m’a dit : « Il vaut mieux un bon bac STMG qu’un mauvais bac ES ! ». Un conseil pragmatique qui, avec le recul, a été une vraie chance.

Parce que c’est là que j’ai découvert Excel : La logique des formules, la puissance des automatisations… J’étais fascinée. Parallèlement, j’ai appris la comptabilité et la gestion d’entreprise. Après le lycée, je n’avais pas d’idées précises de ce que je voulais faire, alors j’ai poursuivi en DUT GEA (Gestion des Entreprises et des Administrations), cherchant une formation généraliste qui me laisserait le choix. Une fois encore, mes matières préférées étaient la comptabilité et l’informatique.

Après ce DUT, il a fallu choisir une direction, et je me suis dit :

« Je ferai de l’informatique en allant vers la comptabilité, alors que l’inverse sera plus compliqué »

Ma voie était tracée. Mais une chose me préoccupait toujours : je voulais aider.

Le choc du terrain : un univers associatif sous-équipé

Au moment de chercher un poste de comptable, j’ai naturellement choisi de me tourner vers le monde associatif. C’était là que je voulais être utile. J’ai découvert un univers passionnant, rempli de personnes engagées, mais aussi un quotidien administratif lourd et chronophage : des factures papiers, une comptabilité analytique complexe, des suivis comptables manuels, des heures passées sur des tâches répétitives… faute d’outils adaptés.

Après cette expérience, j’ai intégré une entreprise où tout était digitalisé et automatisé. Et là, le contraste a été un véritable électrochoc. D’un côté, une structure fluide, optimisée, qui faisait gagner un temps fou. De l’autre, un monde associatif rempli de bonnes volontés, mais freiné par un manque de solutions adaptés.

Ce fossé m’a touché. Je voulais agir.

Le déclic : allier automatisation et engagement associatif

J’ai commencé à réfléchir à comment je pouvais être utile. En parallèle, j’ai décidé de m’engager comme bénévole chez SOS Méditerranée à Lyon. Cela m’a permis d’être en immersion dans une association et de mieux comprendre leurs besoins concrets.

C’est aussi à ce moment-là que j’ai découvert le No-Code, suite au conseil d’un professeur. Curieuse, j’ai commencé à créer des petites applications pour moi. Très vite, le lien s’est fait naturellement :

Aider les associations dans leur gestion administrative en utilisant des outils digitaux simples et accessibles.

C’est ainsi qu’est né Aido Gestion.